La merveilleuse aventure de Marco Polo (I^ partie)

Aucun voyageur, aucun explorateur, jusqu’aux temps les plus modernes, n’a si amplement parcouru le continent Asiatique.

Marco-Polo

Cet empire de Venise, seul empire colonial du Moyen Age, après les voyages de Marco Polo en Extrême- Orient, est le lien entre la cour des Koubilay, le Grand Khan des Mongols, dans le Cathay lointain, la Chine de ce temps, et les pays occidentaux. Et il n’est pas étonnant que Nicolas Polo, père de Marco, et son frère Mathieu, se lancent à l’aventure cers le Caucase et la Perse en partant du comptoir de Soldaja en Crimée où ils exercent un commerce de pierreries. C’est après dix ans d’un long et périlleux voyage qu’ils reviendront à Venise pour y repartir en emmenant Marco, âgé de quinze ans seulement: il venait de perdre sa mère. Cette seconde expédition devait durer vingt-quatre ans ; c’est elle qui nous est contée dans le Livre des Merveilles

Le-livre-des-merveilles

Cet ouvrage, plus connu à Venise comme Le Million d’après le surnom familier de son auteur, a été sans doute le plus copié, le plus imprimé et le plus lu de tous les livres qui ont apporté du nouveau à notre connaissance de la terre et de l’humaine condition. Fait curieux, ce récit est dû au hasard plutôt qu’à un désir précis du voyageur : s’il se plaît à répondre sans se lasser, et même « avec bénignité et amabilité » selon Ramusio, aux jeunes gens qui viennent l’interroger dans sa maison de Venise, aujourd’hui disparue, il faut que Marco Polo soit fait prisonnier par les Génois dans les eaux du Lojazzo en Méditerranée orientale pour entreprendre ce travail. En 1298, pendant sa captivité, il dicte à l’un de ses compagnons de prison, Rustichello da Pisa, le détail de ses observations. A la première lecture, le Livre des Merveilles semble fantastique et plus proche d’un conte de fées que d’une relation scientifique, mais pour ce qui veut goûter le charme et l’objectivité du narrateur, il lui faut saisir le sens profond de cette fabuleuse aventure. Après lui, en effet, comme le souligne si bien Giotto Dainelli, aucun voyageur, aucun explorateur, jusqu’aux temps les plus modernes, n’a si amplement parcouru le continent Asiatique.

Le Café en Campo San Luca

Saisir le bon moment.

Une photo prise en vitesse, pour ne pas perdre l'instant décisif.

Un-café-près-de-Campo-San-Luca

Les quarte femmes étaient blondes et habillées en clair et les hommes en noir. Elles avaient l'aire d'avoir beaucoup de choses intéressantes à se raconter. Leica M 240 avec 28mm f2,8 asph. 1/250s f3,4 iso 1600.

Dans le "Squero" avec John Sexton!

The-Negative-Ansel-Adams

Avez-vous déjà entendu parler de John Sexton? Moi oui, bien sûr, et il est un de mes héros! Ce monsieur a était pendant des années l'assistant de l'un des plus grands photographes Américains : Ansel Adams! À l'âge de 26 ans, soit en 1979 jusqu'à la mort de Ansel Adams, en 1984, John Sexton était à côté du célèbre photographe, et il a hérité tout son énorme savoir. Aujourd'hui, John Sexton est depuis longtemps un photographe très connu, et quelle surprise alors quand je fus présenté à lui lors de l'inauguration de l'exposition de Sebastiao Salgado à Venise. J’avais lu, ou plutôt, je connaissais par cœur la trilogie écrite par Ansel Adams, «La caméra, Le négatif, Le tirage", et je me souvenais par cœur chaque photo, chaque nom, y compris celui de son assistant John Sexton.

Donc, le connaître a été comme ouvrir un livre qui avait été fermé, mais très présent dans ma mémoire, pendant des décennies. John et sa femme, Anne, également photographe, ont exprimé le désir de photographier dans un squero le chantier naval où les gondoles sont construites, en sachant que j'avais publié le seul livre de photos existant au monde au sujet de leur construction. J'ai donc eu le plaisir de faire un tour photo à Venise avec John Sexton! Incroyable, quand il a ouvert son sac, avec les Hasselblad dedans, j’ai vu les dos pour la pellicule avec marqué les différents développements et les différents types de films, tout exactement comme je l'avais lu dans les livres, et comme moi même j’ai fait pendant des années avant de passer au numérique.

John-Sexton-dans-le-Squero.

Le calme et la précision nécessaire, comme si le temps s’était arrêté. J'enviais beaucoup qui était capable de continuer la grande tradition de la photographie argentique en noir et blanc, non pas seulement pour les résultats, mais aussi pour la méditation et les photos faite avec toute calme. Tout le contraire de ce que souvent je vois faire par de gens qui pensent d’être «photographe» seulement parce qu'ils ont une caméra ... Un superbe après-midi, qui je l'espère répéter bientôt, et depuis ce temps, quand je peux, j’aime reprendre mon Hasselblad avec un soupir de soulagement, me consacrer un peu de temps pour moi seulement.

John-Sexton-and-his-Hasselblad
John-Sexton-and-Marc-De-Tollenaere
John-Sexton-and-Ansel-Adams

Le forgeron à San Polo

Le souple obturateur du Leica SL.

Le Leica SL est une mirrorless, ce qui permets des temps assez lents.

Le-forgeron-de-San-Polo

Une image curieuse, le forgeron avais trouvé ça qui sais où et l'avais amené dans son atelier! Leica SL 1/15s f5,6 iso 800 avec mon Leica M 28mm f2,8 asph. J'aurais pu utiliser une valeur d'iso supérieure, car avec la Leica SL on peut facilement pousser la sensibilité jusqu'à 6400, mais l'obturateur de l'appareil est tellement discret (la Leica SL est une mirrorless) que même à 1/15s on ne risque pas de bouger. 

La Biennale d'Art dans l'Arsenal.

Peut avant ou peu après un événement, c'est la meilleur occasion pour prendre une photo!

Quelle bonheur de se ballader dans l'Arsenal desert!

La-Biennale-d'Art-dans-l'Arsenal.

Tout les deux ans à Venise il y a la Biennale d'Art. L'une des choses les plus intéressantes à faire est de se balader le long des espaces vide de l'Arsenal, une fois que l'exposition est terminée. On y peut toujours trouver des vitamines créatives pour une photo! Leica M 240, 28mm Elmarit asph 2,8, 1/90, f10, iso 800.

L'Arsenal, oul'enfer de Dante!

Même Dante resta impressionné par l'Arsenal de Venise.

C’est là qui réside la principale force de l’la Cité des Doges. Dans ses quatre énormes bassins jusqu’à trois flottes entières peuvent prendre place. 

L'entrée-de-l'Arsenal

De ce labeur quotidien, chacun y trouvait sa part à l’Arsenal. Aujourd’hui encore, il suffit de franchir la porte, le premier monument de la Renaissance à Venise, construit en 1460, et qui a subi par la suite des transformations pour retrouver les vestiges d’une activité inlassable. Commencé en 1104 selon la tradition, l’Arsenal a été sans cesse agrandi pour atteindre sa superficie actuelle. Entouré de hautes murailles de briques roses aux créneaux en queue de poisson et d’un fossé, il communique avec la lagune du côté des Fondamente Nuove. Ici, un canal fermé par une porte flanquent deux tours, permettait aux navires d’entrer ou de quitter les hangars, les bassins de radoub et le plan d’eau intérieur pour se rendre dans le bassin de Saint-Marc.

Le-bassin-interiéur-de-l'Arsenal

C’est de cet ensemble grandiose de bâtiments et d’ateliers que sortirent la plupart des navires de la République. Actuellement, une partie de ces bâtiments abrite le musée Historique Naval où des maquettes, des souvenirs et des trophées de la Marine Vénitienne, puis de la Marine Italienne, sont conservées ainsi qu’une touchante collection d’ex-voto pittoresques peints par le marins échappées à quelque naufrage et des fragments du dernier Bucentaure détruit par Napoléon. L’autre partie est occupée par les bureaux et différentes services de l’Amirauté qui  a bien voulu m' autoriser à pénétrer dans l’Arsenal, habituellement interdit aux curieux et qui, autrefois, avait accueilli parmi tant d’autres, un visiteur célèbre, Dante Alighieri.

Dante-Alighieri-auteur-de-la-Divine-Comédie.

On sait, en effet, que l’auteur de la Divine Comédie vint à Venise comme ambassadeur du seigneur de Ravenna, Guido da Polenta. Il visite l’Arsenal. Il est tellement impressionné par le spectacle grandiose qui lui offrent le quais et les chantiers où se mêlent charpentiers et matelots, où les armuriers succèdent aux calfats, qu’il s’en inspire pour écrire un passage du chant XXI de l’Enfer:

 

Quale nell’Arzanà dè Viniziani

Bolle l’inverno la tenace pece,

A rimpalnmar li legni por non sani,

Che navicar non ponno e’n quella vece.

Chi fa suo legno nuovo e chi ristoppa ;

Le coste a quel, chi più viaggi fece :

Chi ribatte da proda, e chi da poppa,

Altri fa remi, e altri volge sarte ;

Chi terzeruolo e artimon rintoppa ;

Tal, non per fuoco, ma per divin arte

Bollia laggiuso una pergola spessa

Che inviscava la ripa d’ogni parte.

 

Comme l’hiver, dans l’Arsenal des Vénitiens,

la poix tenace bout pour calfater les vaisseaux endommagés,

 et au lieu de naviguer ce qu’ils ne peuvent faire,

celui-ci remet sa coque à neuf

et celui-là étoupe les bords du bâtiment qui a fait de nombreux voyages.

Qui de radouber la proue, qui la poupe;

L’un prépare les avirons,

Et l’autre tord des haubans ;

Ou encore il répare les voiles de misaine et celles d’artimon.

Ainsi, non par le feu,

Mais grâce à un art divine

Bouillait en ce bas-fond

Une poix épaisse qui engluait la rive de toutes parts.

L'intérieur-de-l'Arsenal

Ainsi, à travers l’Europe entière, la Méditerranée et jusqu’en Orient, ces chantiers navals avaient acquis une grande réputation; n’étaient-ils pas à l’origine de la prospérité et des victoires de la Cité des Doges? Encore aujourd’hui l’on reste confondu devant l’ordonnance des anciens hangars où venaient se ranger les galères, d’autre où l’on tressait des cordages de plus de deux cent mètres de long et l’on peut toujours voir deux grandes cuves de pierre remplies d’eau douce qui servaient à se laver, à les débarrasser du sel, à leur rendre leur première souplesse. L’Arsenal n’avait pas son pareil non seulement pour fabriquer, mais aussi pour entretenir tout ce qui était nécessaire à la plus grande flotte de guerre et de commerce des XV et XVI siècles. Les victoires de Venise sur Gênes, sa principale rivale, comme sur les Turcs de plus en plus menaçants, c’est surtout grâce aux remarquables travaux de ses ouvriers, les arsenalotti, que la Sérénissime les remportera. Ils sont près de soixante mille à l’époque de la plus grande activité. En effet, cet Arsenal, comme les ennemis de Venise aimeraient s’en emparer ! Que de fois, d’ailleurs, Milanais, Espagnols, Turcs n’essaieront-ils pas d’allumer des incendies !

Un-des-lions-qui-gardent-la-porte-de-l'Arsenal

C’est là qui réside la principale force de l’Etat. Dans ses quatre énormes bassins jusqu’à cent vingt galères – trois flottes entières – peuvent prendre place. Chantiers de carénage, chantiers de radoub : in n’est pas une avarie qui ne puisse ici être réparée. Ferrements, clous, ancres, boulets, planches, mâts, timons, avirons, chanvre, cordages, câbles, voiles, poix, salpêtre, poudre : in n’est pas un élément constitutif d’une galère, pas un instrument dont elle se sert qui ne soit ici fabriqué. Pour éviter les vols, la moindre pièce est estampillée au sceau du lion ailé, même les clous ! Et dans tout atelier des moules spéciaux permettent une production en série. Aussi Venise n’a-t-elle pas sa pareille pour s’armer. Lors de la guerre de Lépante, cent galères en cent jours furent, dit-on, construites. Et Henri III devait longtemps parler de la démonstration à laquelle il assista : une quille et une simple charpente transformées en moins de deux heures en un navire gréé et voguant!

Les sonnettes de Castello

La composition photographique.

Il faut faire attention au sujet, mais à tout le reste aussi!

Sonnettes-à-Castello

Un de mes Photo walk a Venise passe souvent devant cet amusant groupe de sonnettes, pendant notre ballade dans le quartier de Castello. Je me souvient les avoir photographié pour la première fois il y a plus de 10 ans, pour mon premier livre sur Venise: "Venise, rêve de lumière". Les sonnettes étaient le sujet principal, mais la colonne sur la droite m'as permis de terminer correctement le cadrage. Leica M 240, 28mm Elmarit asph 2,8, 1/45, f6,8, iso 400.

Le terrain de basket à Venise

Photo d'architecture à Cannaregio.

Parfois, les endroits étroits offrent des bonnes solutions pour la photo d'architecture.

Un-terrain-de-basket-à-Venise

On le sait, à Venise les espaces sont souvent très étroits. Pas seulement les appartements, qui sont très chers et petit, mais aussi les espaces publiques pour jouer! Et voilà un terrain de basket près de Sant'Alvise, une des parties les plus populaires et oubliée par le tourisme. Leica M 240, objectif 28mm f2,8 1/180 f 11, iso 800.

L'ancien atelier de Tintoretto!

Photo de portrait dans l'atelier de Tintoretto.

Comment faire un portrait dans un atelier rempli de choses? Y mettre tout dedans! 

L'ancien-atelier-de-Tintoretto.

Venise a toujours eu un très grande traditions dans l'imprimerie, à partir du XVème siècle. L'une des plus belles imprimeries se trouve dans l'ancient atelier du grand peintre Tintoretto à Cannaregio! Leica M 240 avec 28mm f2,8. 1/6" f4 iso 800.

L'ancienne imprimerie près des Fondamente Nuove

Le cadrage panoramique.

Le cadrage panoramique m'as permis de saisir tout l'intérieur de cet ancien atelier.

Ancienne imprimerie à Cannaregio

Il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir à Venise! Dans ce cas-la, j'ai vue cette ancienne imprimerie pendant un Photo Tour, lorsque on allais vers Fondamente Nuove pour prendre le vaporetto qui mène à Burano. Je n'ai pas résisté, et je suis entré avec mon Leica M et l'objectif Elmarit 21mm (heureusement j'avais mon trépied avec moi), et j'ai pris la photo avec 6", f13, iso200.

Le "Battioro" de Venise!!!

L'incroyable atelier du Battioro à Venise.

Et voilà que en Birmanie on travaille la feuille d’or de la même façon que à Venise!

Le-Battioro-au-travail

D'où arrive ce noble et ancien art, le Battioro? Pour autant que j’en sache, elle est arrivé à Venise vers l’an 1000, de Byzance, mais quelle surprise quand, lors d'une de mes photo workshops au Myanmar, on s’est arrêtée devant un atelier pour le traitement de l'or. On sais avec certitude que Marco Polo est passé par la Birmanie, au cours de son long voyage vers l'Est, et, voilà que à Mandalay on travaille la feuille d’or de la même façon que je l'ai vu à Venise!

L'atelier-des-Battioro-en-Birmanie.

Certes, l'atmosphère est un peu différent, et le climat aussi, mais je ai vu tellement de similitudes que je me suis demandé si cet ancien art a été quelque peu affecté d'une manière ou d'une autre. Les Birmans font un usage intensif de la feuille d'or dans leurs prières, lorsque ils collent la feuille d'or sur les statues de Bouddha, ou sur le Rocher d'Or.

Le-rocher-d'or-en-Birmanie.

Mais revenons à Venise où, jusqu’au XVIII siècle il y avait plus de 300 artisans qui travaillèrent la feuille d'or, chacun sur une étape spécifique de la production, et moi, étant toujours attirés par ce qui vit encore de ces anciennes traditions, j’ai rendu visite à mon ami Marino, près de Fondamente Nuove, qui est à présent le seul Battioro qui exerce ce métier antique, selon un procédé de fabrication pratiquement inchangé au cours des siècles.
Autre surprise, est l'endroit où le laboratoire, qui maintenant s’ appelle "Mario Berta Battiloro", est situé à Venise, parce que il se trove dans l'ancienne maison du fameux peintre Tiziano Vecellio !!! Franchi le seuil de ce bâtiment chargé d'histoire, allons voir comment est la production de cette feuille précieuse. On commence par la fusion de l'or, pur ou avec l'adjonction d'autres matières, qui est fondu dans un creuset, et voilà que vous obtenez un joli lingot d'or!

Le-lingot-d'or-très-pur.

Maintenant le lingot, passant au milieu des rouleaux (vous rappelez-vous les nouilles?) devient un long ruban de plusieurs mètres. Le ruban est coupée en petits carrés qui sont placés dans un «livre», et frappé avec un marteau de 3 à 8 livres, pour réduire la forme d'or dans des parties de plus en plus minces.

Le-ruban-d'or-réchauffé.

Les feuilles d'or sont ensuite découpées et recueillies dans des livrets de papier, prêt à être utilisé. Quels sont l'utilisation d'aujourd'hui des feuilles d'or produite à la main? Elle sont toujours utilisés pour la production des carreaux de mosaïque, dans la décoration du verre et la restauration des fresques, elle sont utilisés dans les cosmétiques, la médecine, et ces derniers temps, même dans la cuisine!

La-feuille-d'or-après-le-battage.
Les-livrets-avec-les-feuilles-d'or.

 

 

 

  

La fête des âmes.

Comment maitriser une lumière difficile et obtenir une superbe photo.

L'occasion est arrivé pendant la fête des Âmes dans l'ile de San Michele.

La-fête-des-âmes.

C'est tout d'abord une question de lumière. Sans lumière il n'y a pas de photo. Dans ce cas-ci en particulier je devais faire attention à la scène qui se passait en bas, et qui était à l'intérieur d'une église, et aux rayons qui arrivaient de haut. Bien évidemment j'ai du surexposer les rayons pour avoir du détail dans l'église. Avec Leica M 240, 28mm Elmarit f 2,8, 1/45s f6,8 iso 400.

Le cloître de San Francesco della Vigna

Composition et cadrage

Ceci est l'un des endroits ou je préfère m'arrêter pendant un Photo Tour.

Le-cloître-de-San-Francesto-della-Vigna

Le cloître de San Francesco della Vigna se trouve juste à côté de l'église qui porte le même nom, Spécialement pendant l'été, ceci est l'un des endroits ou je préfère m'arrêter pendant un Photo Tour, car il est très calme et a l'abri de la chaleur. C'est alors un bon moment pour parler de la composition et du cadrage. Photo prise avec Leica M240, 28mm Elmarit f2,8: 1/60s f/8 iso 400.

Une cour privée à Castello.

J'étais en plein milieu d'un Photo Tour dans l'un des quartiers les plus populaires de Venise, Castello, et voilà.

Cour-privée-à-Castello

Heureusement, je parle le Vénitien aussi. J'étais en plein milieu d'un Photo Tour avec une jolie couple dans l'un des quartiers les plus populaires de Venise, Castello, et de loin j'ai vue cet bateau dans une cour privée. On s'approche et je commence a parler (en Vénitien, bien évidemment) avec le monsieur qui était l'auteur de cet œuvre. Il était tout fier que on voulait prendre des photos de son vaporetto. Photo prise avec Leica M 240, 28mm Elmarit 2,8, 1/15s f11, 200 iso.